Quand le froid ce matin a frappé mon visage,
Dans la nuit silencieuse, les rêves se sont enfuis,
Emportant et baisers, et caresses volages
Avec l'étreinte des corps, fors la peur des envies.
Dans la nuit silencieuse, les rêves se sont enfuis,
Emportant et baisers, et caresses volages
Avec l'étreinte des corps, fors la peur des envies.
Où sont vos voluptueuses caresses évanouies ?
Les discrètes attentions et les jeux inavouables ?
Dans le noir ce matin, un silence sans vie,
Assomme le plaisir, et le désir accable.
Assassin des amours, le temps qui tue se passe
de séduction, de poésie'nutile se lasse,
Et toute la vie sévère devient un grand chagrin
Froide comme un frigidaire, triste comme ce matin.
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